Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le chat de comptoir

20 octobre 2010

Till the destruction of Internet

Dans ma logique de polluer internet cela faisait un temps que je n'avais pas abandonner de blog et pour cause: cela fait un temps que je n'en avais pas créer un. Voilà donc qui est fait: ça s'appelle 24 Films par seconde (ou comment parler de films qu'on a pas vu). Alors dépêchez vous d'y aller car dans peu de temps il n'y aura plus de posts dessus...

Publicité
15 octobre 2010

Man vs Wild (aka Me in my Apartment)

Cela avait pourtant commencé comme une journée normale, pour autant que normal signifie encore quelque chose dans ce lieu mystérieux et reculé de la jungle urbaine. Car cet endroit, aussi anodin puisse-t-il paraitre n’est-il pas le lieu de tous les dangers ? Le voyageur inexpérimenté et inconscient pourrait bien rire de cette analyse et son premier geste en ce temple maudit serait surement de s’avachir sans retenue après avoir pillé le frigo à la recherche d’une bière ayant depuis longtemps colonisé le bac à légume. Mais déjà ce geste anodin l’expose à une morte certaine (ou du moins à une violente diarrhée), car pourrait-il se douter que dans ce sanctuaire à la blancheur virginale se dissimulent de dangereux zombies endormis par le froid mais toujours prêts à lui maltraiter les entrailles ? Qu’adviendrait-il alors de lui s’il s’emparait de cette sauce aux allures orientales transformée par le temps en acide bon marché ? Pourrait-il espérer être secouru après s’être enfoncé dans les méandres verts impénétrables de cette sauce au pesto dont la teinte donne désormais dans le ver de terre ? Un faux pas qu’on ne pourrait d’ailleurs lui reprocher, car comment ne pas se faire abuser par cette terrine de canard couverte d’un épais manteau blanc à l’aspect graisseux alors qu’il ne s’agit là que d’une colonie de champignons.

Ainsi la seule attitude valable est ici d’attendre le danger retranché dans ses positions en regardant passer lentement les étranges buissons sphériques échappés d’un western et constitués d’un amalgame de poussière, poils de chat et autres poils humains à la provenance inavouable. L’attente est souvent longue donnant alors naissance à l’insoutenable tentation télévisuelle de s’oublier en regardant la 203eme diffusion en une semaine de cet épisode de la saison 3 des Simpsons sur W9, la 54eme coupure pub du Grand Journal après 10 min d’émission ou bien encore le reportage racoleur de Zone Interdite nous ayant fait patienter 2 heures pour nous dévoiler une scène à l’érotisme d’une page du catalogue lingerie de la Redoute (j’a dit Zone Interdite mais vous pouvez bien entendu remplacer cela marche bien également bien entendu pour les émissions de la première chaine).

Cependant malgré cette préparation psychologique, le danger arrive toujours à surprendre, et ce fut bien entendu le cas cette fois-ci. Car ce ne fut pas sous la forme d’un félin tigré avide de votre chaire qu’il se présenta, mais sous une forme plus insidieuse et perverse : le froid. Pourtant l’avertissement ne fut pas long à se déclencher, rougeoyant de manière inquiétante tel le voyant d’un répondeur vous avertissant de ne pas écouter le message laissé par votre sœur. Ainsi donc, la chaudière, privée de son précieux combustible que l’on nomme en 3 lettres et qui est un synonyme de « pet », était en rade. Il n’en fallait pas plus à la température pour se débiner lâchement, se réduisant à 16 le lendemain pour n’être plus qu’à 15 le surlendemain soit presque autant qu’à l’extérieur, et encore je n’avais pas le soleil et les gaz d’échappement pour me réchauffer. Il me fallait donc survivre dans cet environnement hostile, et ce que nous a appris Bear Grylls, c’est que dans des situations pareilles l’urine est toujours la voix du salut. La bière étant le meilleur stimulateur de la vessie je sacrifiais ma sobriété à ma survie et liquidais mes bouteilles les unes après les autres. Pourtant rien n’y fit et le froid continuait à s’étendre, me laissant ainsi seul, éméché, recouvert de ma crasse et d’une dizaine de couche de vêtements hétérogènes, le tout recroquevillé face à mon PC en poussant des ricanements sinistres. C’est à ce moment là que j’ai eu une révélation: j’étais en effet sur le point de devenir un écrivain de génie. Tout était en effet réuni pour remplir le cliché éprouvé de l’artiste maudit, ne me manquait plus pour cela qu’une violente maladie respiratoire infligée à l’un de mes poumons, ce que le froid ne manquerait pas de m’inculquer les prochains jours. Aussi, en attendant que je sois frappé d'inspiration virale, je décidais de marquer ma différence à la manière des artistes : en me coupant l’oreille.

C’est un peu près à ce moment que les techniciens de GrDF ont débarqué chez moi pour rétablir l’alimentation en gaz. Ainsi donc je suis passé à ça de pouvoir laisser mon empreinte dans les bibliothèques françaises et au lieu d’écrire un chef d’œuvre à l’article de la mort me voilà réduit à polluer le réseau tel un internaute lambda en quête d’amitié sur fakebook… Que voulez-vous, la vie est mal faite.

15 octobre 2010

Je ne suis qu'un homme...

... et c'est la raison pour laquelle je ne remplirais plus cette rubrique, qui n'a de toute façon jamais été à jour. Il m'est en effet physiquement impossible de continuer à référencer l'actualité de mes divers articles sur punkfiction (et pourtant j'étais bien parti: je n'en écris presque plus), du fait de mon activité principale, à savoir empêcher mon chat de se gaver des boules de polystyrène peuplant les divers colis que je reçois. Je crois que tous ceux ayant un jour fait face à cette situation me comprendront, les autres n'ont simplement pas de cœur et ne mérite tout simplement pas de lire ces lignes (non mais).

14 septembre 2008

Non, je n'ai pas engrossé Rachida Dati

Assez de rumeurs glacées sur papier et de rires étouffés dans les miches de la boulangère, il est temps de tirer les choses au clair (chocolat, vanille ou café) : ce n’est pas moi qui est engrossé la justice de mes méfaits, j’ai trop de compassion pour la transition intestinale difficile de tribunaux et ne suit pas encore assez sot pour tomber sous la garde de Mme Dati.

Ainsi mon absence et silence prolongé ne s’explique pas par une fuite précipité en direction du Pérou en passant par la Corse squatter sauvagement la villa de Christian Clavier pour ensuite faire escale aux Etats-Unis pour récidiver et venir enfanter la fille de Mme Palin (à force de prôner le port d’arme elle ne devrait pas se plaindre que quelqu’un tire un coup). C’était donc bel et bien en vacances que mon silence trouvait sa source, noyé dans le sable chaud et l’eau salée, loin de toutes ces consultations gynécologiques télévisuelles et autres images sadiques de foules enfantines torturées par un retour près des radiateurs froids de l’école, obligés à regarder la star ac toute la soirée afin de pouvoir briller dans la cours de récrée, le tout chiffré par des journalistes maquillés par le soleil de l’été, nous scandant le renouveau du 20H en nous abreuvant des mêmes reportages années après années.

Seulement voilà, les trompettes du sarkanovisme ont brisé le murmure des vagues et sonné le retour à la vie citadine, malheureusement pour moi, car cela me contraignant à venir vous abreuver de nouveau en banalités somnolentes et somnifères, malheureusement pour vous car vous contraignant à les lire en attendant que s’achève le téléchargement de « Balade Anale 3 ». Tout ça pour revenir cirer à grand coup de fesses les planchettes rabattables honteusement qualifiées de siège, écouter de manière désabusée un cours enfoncé à coup de masse par un prof tout aussi ennuyé de perdre deux heures de son temps et venu vous faire payer le plaintes vindicatives des étudiants des étudiants plaintifs restés au fond de leur lit. Après ça on pourra dans 20 ans perpétuer le mouvement et tape sur la jeunesse pour lui donner envie de vieillir dans le seul but d’avoir le plaisir de gouter aux représailles sur leur progéniture, alors qu’on pourrait résoudre le problème une bonne fois pour toute en un pugila général. Alors qu’attendons-nous pour nous foutre sur la gueule ?

 

(Vous d’abord, moi je dépouillerais vos cadavres).

16 août 2008

Viens donc par là déglingo

Et non toujours pas de "vrai" message mais encore une nouvelle chronique de dispo sur punkfiction.

Ce coup-ci on revient sur Come All You Madmen, le dernier album de The Briggs sorti il y a à peine deux mois: c'est décevant même s'il y a toujours une ou deux bonne pièce pour remonter le moral, en tout cas ça aurait pu être beaucoup mieux même si ça vaut quand même plus le cout que de venir lire des trucs ici...

Publicité
14 août 2008

They are the reversal, They are silent, They are one...

....

Je cherchais quelque chose de bien senti ou bien fun à sortir pour annoncer cette nouvelle chronique mais... en fait non.

Et puis d'ailleurs ya pas besoin de ça:

C'est Strung Out, c'est du live (in a Dive), ça fait du bien aux oreilles et c'est toujours au même endroit que ça se passe!

8 août 2008

Journée du verre... euh du vert (enfin les deux)

Toi qui ne bois la bière que par pintes, qui se réveille au son de la cornemuse, qui as de la corne sous les coudes à force de squatter le bar, qui as toujours un trèfle à quatre feuilles à porté de main, qui ne jure que par le vert, mais aussi qui ne manquerais jamais un match de base-ball, en particulier un mettant en compétition des joueurs aux chaussettes rouges voilà quelque chose pour toi, voilà les Dropkick Murphys, les voilà en single, les voilà en vinyle, les voilà sur punkfiction et les voilà... en vert bien entendu!

7 août 2008

Juste Pour Dire...

... c'est quand même la classe de recevoir un skeud expédié depuis un coin s'appelant "les chats".

los_gatos

7 août 2008

Dance Dance To The Sound Of A World On Fire!!!

Ouvres biens les oreilles car on revient aujourd'hui sur le premier album furieux de Krum Bums intelligemment nommé "The Sound".

Avec un nom pareil t'as intérêt à bien écarter les oreilles pour recevoir du street-punk, de la rage, du street punk rageur quoi!

Comme d'habitude tout ce passe sur Punkfiction.

30 juillet 2008

Sortie De Route

Encore une fois les Briggs sont à l'honneur sur punkfiction avec cette fois-ci la chronique de l'Ep Leaving The Ways, le premier skeud du groupe paru chez Side One Dummy en 2004.

A l'honneur: pirates, street-punk, sing along et bricolage et ça se passe par-là!

Publicité
1 2 3 > >>
Le chat de comptoir
Publicité
Archives
Publicité